Virtual On
Mobius se plaignait de notre acharnement sur Nintendo. En pleine autocritique pour manque d’implication revolutionnaire, j’acquiesçais, honteux. Après quelques clics sur le ouèbe, je me rends compte que, peut-être, on tape un peu sur le gros par désœuvrement.

Le truc en haut, c’est une publicité “pour” Virtual On. Virtual On a été mon meilleur souvenir dans une salle d’arcade (c’était avant ceux que j’ai passés avec toi, B).
Imaginez le drame un instant si j’avais été américain : j’aurais vu cette publicité en rentrant dans une salle d’arcade, refusé d’y jouer aussi sec et manqué un moment de bonheur.

La morale de l’histoire est que l’on s’acharne sur Nintendo parce que Sega n’existe plus (enfin presque, il faudrait dire un mot sur leur Yakuza sur PS2, mais Game B s’en chargera, entre deux chargements.).