En ancien combattant de la ligue de défense des mangasses (cohorte Giscard), je me souviens bien des éléments de langage prêts à désamorcer la moindre svatiska passant devant des yeux moins inféodés que les miens : le recours à la symbolique hindoue et bouddhiste suffisait en général pour enfumer les conversations, et dans les moments désespérés, la cardass brillante « c’est une autre ...