Prix Virtuels
Par Game B le 15 février 2011 - Ça dénonce grave.6 minutes
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La fin de l’année 2010 fut remarquable en termes de promotions dans le jeune marché des jeux vidéo dématérialisés. Les plateformes comme Steam, Xbox Live Marketplace, ou le Playstation Network ont rivalisé d’offres de réductions allant parfois au-delà de -50%. Mais quelles conséquences peuvent avoir ces pratiques issues de la vente de produits réels sur du contenu immatériel ? Et quelles influences auront-elles sur le joueur consommateur ?
Affaires de la semaine sur le XBLM du 21 au 28 décembre derniers :
- Super Meat Boy : 800 points, réduction de 33%
- Comic Jumper : 800 points, réduction de 33%
- Toy Soldiers : 800 points, réduction de 33%
- Banjo Tooie : 600 points, réduction de 50%
- Castle Crashers : 600 points, réduction de 50%
- Risk Factions : 400 points, réduction de 50%
- Afterburner Climax : 400 points, réduction de 50%
- Borderland’s Claptrap : 400 points, réduction de 50%
- Carcassonne : 400 points, réduction de 50%
Et croisées à celles-ci, chaque jour de la semaine précédant le 31 décembre, se présentaient des offres supplémentaires pour la journée. Limbo était par exemple à -33% uniquement le dernier jour de l’année.
Tous les services proposent des réductions hebdomadaires tout au long de l’année. Mais si Steam et le PSN affichaient eux aussi des rabais pour les fêtes, c’est le marché de la Xbox avec ses réductions flash disponibles pendant 24 heures qui poussa le concept le plus loin.
sOLD ?
A l’origine, dans le monde réel, les soldes concernent les invendus d’une saison, proposés à la vente depuis au moins un mois. Et les dates sont déterminées par le préfet du département après consultation des organismes de professionnels et de consommateurs. Sur internet manifestement, chacun fait ce qui lui plait. L’entreprise décide et les joueurs votent avec le porte-feuille.
Les jeux et contenus désignés ne le sont pas en fonction de leur ancienneté ou de leurs chiffres de vente, comme on pourrait le voir en magasin et avec les collections “Playstation Platinum” ou “Xbox Classics”. Par exemple, Super Meat Boy profitait d’un prix réduit pour sa première semaine de sortie.
Ces réductions sur des produits virtuels sont donc arbitraires et non-motivées, et ne permettent de tirer aucune conclusion certaine du genre “tel jeu est en réduction parce qu’il s’est mal vendu”.
Cours-y vite !
Le problème des soldes virtuels c’est qu’une fois terminés, dans leur grande majorité, les prix remontent à leur origine. Ces courtes promotions ne pressent donc le consommateur non plus avec une quantité limitée, mais avec une limite dans le temps.
Ainsi, si vous achetez Castle Crashers sur Xbox Live maintenant, vous allez payer le même produit deux fois plus cher qu’il ne valait il y a quelques semaines. On se voit ainsi acheter, sans envie immédiate de jouer, par peur de regretter plus tard la promo manquée.
Alors que le premier argument du dématérialisé était la disponibilité diffuse et permanente, il est maintenant devenu un marché que des promos peuvent dynamiser. Et cerise sur le gâteau, les joueurs ne peuvent pas se les prêter ou se les revendre. Un joueur correspond à un achat : le bonheur de l’industrie.
L’effet sur le comportement des joueurs
Ma personne ne profitant pas de l’universalité d’un Julien, je ne peux parler que pour mon cas et vous inviter à partager les expériences dans les commentaires en fin d’article. Merci.
Ma découverte des soldes dématérialisés se fit donc sur iPod Touch. Ne devant pas assumer le budget d’un iPhone, j’avais plutôt bien accueilli les jeux chiffrés en centimes d’euros. Il y a même des démos quelquefois, et à ce prix là, la déception ne coûtait pas cher. De plus, sur l’AppStore, les promos virevoltaient. Certains jeux sont gratuits durant une journée grâce à des offres comme le freeappaday. Il arrive donc, si on surveille ces évènements, de voir passer gratuit un jeu qu’on a payé.
C’est là que j’ai décroché.
Un jeu que j’ai payé, me disant “gna gna ça va direct dans la poche du développeur c’est un geste fort de consommateur je suis trop un rebelle responsable gna gna”, et bien le lendemain il est gratosse pour tout le monde. Marquant la futilité de mon geste et la perte d’une somme qui, même si ridicule, a été épargnée à d’autres.
Évidemment, à ce moment là, je me dis que je vais surveiller ces fluctuations de prix grâce à des sites comme AppShopper. Me voilà alerté des changements de prix au jour le jour pour les jeux que j’ai sélectionnés. Autant dire tout de suite que ma consommation a chuté de manière significative. Et mon temps de jeu sur l’appareil a suivi puis, cercle vicieux, je ne faisais même plus attention aux alertes.
Variations de prix pour Street Fighter 4 sur iPhone (Source AppShopper). Si t’as payé huit euros, bravo, t’es le roi des pigeons.
Si ça n’a pas de prix, c’est gratuit
Le temps passe et, au détour d’un article sur Kotaku, j’apprends qu’il est très facile de “jailbreaker” l’appareil pour en customiser les menus. Vu qu’Apple c’est comme les consoles : c’est joli, c’est à toi, mais tu ne touches à rien, et comme la manipulation à l’époque se faisait en tapant une simple URL, j’allais pas me priver.
( D’ailleurs deux choses m’ont toujours mené au piratage : la possibilité de personnaliser et de comprendre quelque chose qui m’appartient (réminiscence d’une jeunesse à cyclomoteur sûrement), et l’envie de jouer à des jeux inaccessibles par souci culturel ou de basse rentabilité des éditeurs.)
Je découvre donc Installous, un logiciel qui permet de télécharger la plupart des applications plus simplement et plus efficacement qu’avec iTunes. Sans payer, ça va plus vite vous me direz.
Si ça me plait, je paie…
…mais pas parce que je suis un consommateur responsable que les pauvres développeurs gna gna. Par exemple, Epic Win, je le paie car l’appli est régulièrement mise à jour. Des améliorations sont appliquées très rapidement en se basant sur les retours des utilisateurs, à travers la page Facebook par exemple. Si je veux continuer à passer outre, il faut alors que je trouve et installe à chaque fois la dernière version piratée.
Il est plus simple de payer bien volontiers son concepteur et de profiter paisiblement des updates.
Voilà tout mon propos : quand les jeux sont bradés, vendus à télécharger buggés sans patch à l’horizon (Scott Pilgrim : The Game, DeathSpank : T.O.V), avec des variations de prix inexpliquées, le message que l’industrie m’envoie est “à partir de combien es-tu prêt à te faire enfiler ?”. C’est l’édition même qui abolit la valeur du travail des développeurs. Un joueur et un programmeur savent ce que coûte et vaut une expérience de jeu. Le Bobby Kotick (patron d’Activision) et son armée du marketing, ce qui les intéresse c’est à quel prix le jeu se vend et en combien de temps.
Et je pense encore une fois que ce sont les intermédiaires de ce genre qui pourrissent le système et dénaturent le produit. Ils n’y apportent aucune valeur et augmentent le budget de production pour se payer grassement. Comme ça l’a été pour la musique, avec l’incompétence des majors, et le bouc émissaire du MP3. Comme ça l’est actuellement dans la filière du livre, avec l’incompétence et le mépris des éditeurs pour les auteurs, et l’excuse du passage au numérique. Et tout cela n’est pas la responsabilité de l’individu en bout de chaîne qui doit choisir entre manger ou se cultiver, mais des irresponsables qui vendent de la culture en barils et qui vous disent que si vous en achetez plus, il y en aura plus.
Affiche “Marre des soldes” par Richard G.
Commentaires
Juste comme ça, Steam fait des soldes a durer de 24h depuis très longtemps. Super meat boy est sorti en promotion par pression des DÉVELOPPEURS.
Et pour pas te faire avoir comme un couillon, fait comme quand tu va acheter tes chaussures, attend les soldes pour te chausser pendant plusieurs années, plutôt que de faire le early adopter.
Expérimentant le dématérialisé du côté moustachu de la force, je regrette tout de même les autres systèmes qui connaissent ce genre d’offres.
C’est important les soldes ou les réductions, c’est au commerce ce qu’était le carnaval au système social ; une sorte de moment à part qui permet d’accepter, le reste du temps, l’injustice ou la dépendance (ici envers le vendeur qui décide du prix).
Les différences que tu relèves entre marchandises et produits dématérialisés sont intéressantes, j’y avais jamais pensé avant. C’est vrai qu’il n’y a plus du tout la question du flux et des stocks ; en même temps tu reproches des choses un peu contradictoires : je comprends que la volatilité des prix ne facilite l’achat, sauf en cas de promotions où tu avoues toi-même que tu a(vai)s tendance à acheter pour ne pas rater une occasion : c’est que leur modèle fonctionne bien en fait, au moins dans ces moments là.
Il y a quelques années, Amazon avait montré la viabilité de la longue traîne (« nombreux produits chacun en petite quantité » sur une longue période de temps), je me demande si le dématérialisé ne serait pas en train de développer un modèle qui fonctionne uniquement sur les promotions (beaucoup de ventes à bas pris en très peu de temps mais plusieurs fois).
@Game A : C’est justement cette contradiction qui me gène le plus. Contradiction de sentiments pressés par le désir, mais manipulés à de seules vues commerciales. La frustration de choisir entre se retenir ou bien avoir l’impression de se faire avoir. Se reprocher son achat trop onéreux et ensuite claquer du fric dans l’urgence d’une promotion. Et tout cela sans rapport avec la qualité, ou l’âge pour le retrogaming, du jeu en question.
Ce sont de petites manipulations du désir et de la culpabilité à des fins commerciales. Ca n’a rien à voir avec le jeu vidéo. Ca ne fera, à mon avis, que déprécier le travail des développeurs et mettre à mal la confiance des joueurs.
@Coleyra : Je n’utilise plus Steam, merci pour ces précisions. Et puis les majuscules, c’est toujours plus efficace que des sources précises. Les petits dévs de SMB faisant pression sur Microsoft, c’est impressionnant.
Pour arrêter de râler, tu m’invites à utiliser à mon avantage le système que j’essaie de dénoncer grave. C’est pas parce que je perds que je chouine. C’est parce que les règles sont injustes.
Une fois encore, une bien belle analyse. Je me permets d’ajouter mon grain de sel avec cette pensée, que les promos permanentes sur les DLC servent également de produit d’appel pour toute la boutique virtuelle genre “ahlala, il me reste encore 200 points, et si j’achetais un nouveau futal à mon avatar ?”.
Combien d’entre-nous ont déjà été victimes de ce racket insidieux ?
@Masque de Mort : Dans la même idée que toi, c’est une des choses qui me dérange, de nos jours, TOUT a un prix, les gens payent juste pour que leur avatar est un nouveau futal, si c’est pas presser le consommateur comme une orange pour avoir son blé, alors qu’est-ce que c’est?
Je te rejoins complètement Game B.
Mais en même temps, personnellement, ils niquent eux-même leur industrie.
Parce que t’en a marre de payer un DLC ou un jeu arcade le prix fort, tu attends une éventuelle promotion, car ça fait mal d’acheter un truc et de le voir 2 semaines après à -50%.
Le pire étant dans le sens inverse. Quand tu loupes une promo, c’est difficile de se dire que l’on va payer le prix fort alors qu’il était deux fois moins cher trois jours avant…
Mais je pense que leurs soldes flashs doivent bien booster leurs ventes. Au final, c’est toujours bien pensé leur truc, pour nous faire raquer…
Maintenant quand un jeu XBLA cool vient de sortir, je fais la demo puis je regarde le prix (IF price = 1200msp THEN wait promo)
Parce que 1200msp est une limite psychologique que je ne toucherai jamais !
C’est ce que je me dis depuis un moment avec Steam, que connaissant la régularité de leurs soldes (sans parler des chutes vertigineuses des prix parfois), je n’ai encore jamais payé un jeu Steam plus de 15$. Et j’en ai un paquet.
Ce que je retiens surtout de ton article (outre le très très vrai passage sur le fait que les intermédiaires de type marketing foutent le bazar), c’est qu’il y a une nuance de taille entre coûter et valoir.
Mhhhh tu parle de Scott Pilgrim Le jeu…
Bien que j’ai particulièrement apprécier ce jeu.
Les 10€ que j’ai mis dedans sur le PSN m’ont un peut fais mal pour un tas de pixels.
Encore sur PS3 on a eu droit a un patch mais il continu a buggé (genre le jeu qui a décider qu’on était bien a attendre comme des con un scène qui viendra jamais après le second boss, mais yen a d’autres)
Les devs on voulu recrée les bugs des mauvais jeux nes ?
Le pire dans ce jeu, c’est le DLC. 2€ pour une morue a cheveux noir et rouge et deux mode bonus anecdotique.
Je me disais bien qu’il fallait jamais prendre un DLC a l’aveugle x)
Sinon pour ces histoires de promo.
Je me suis souvent surpris sur le steam a m’y laisser prendre.
Mais en général pour des jeux indies plutôt sympa que j’aurais jamais payer plus du prix de la promo.
Mais même comme ça on se fait avoir.
J’ai par exemple pris audio surf en promo a 2€ et quelques au lieu de 8.
Une semaine steam sort un indie beat pack qui inclut audio surf et le tout a 4€
Ca m’a mis les boules. Parce les 2€ que j’ai mis dans audio surf auraient pu atterrir intégralement dans le pack pour une meilleur rentabilité, d’une autres parce que le ça m’a forcé a racheter le packs pour les autres jeux.
Une promo sur le même jeu a la suite (les promo de noel duraient une semaine)
Du coup maintenant je fais gaffe.
Je prend les jeux uniquement si je les désire depuis longtemps sur le steam et qu’ils son trop cher pour moi.
Mais steam avec ces promo éclaires on réussis m’avoir deux trois fois..
Ce qui est le plus déconcertant, c’est que les gens tweet ou reblog toutes ces promo en disant “OMG tel jeu a 2€, c’est la promo du siècle achetez”
C’est la que le credule se fait avoir plus facilement.
En plus c’est de la pub gratuite faite par ceux qui se fonts avoir.
C’est classe.
@Y_a_pl1_2_virus : Merci de partager ton expérience sur Steam !
Sinon le DLC de Scott Pilgrim est scandaleux, je suis bien d’accord. Knives, le nouveau perso, est une variation très maladroite de Kim. Ils ont repris le même sprite et les mêmes coups en changeant quelques pixels et leurs couleurs. On dirait Playmore singeant péniblement SNK pour continuer les KoF ou Metal Slug. C’est minable.
Et par-dessus ça, le patch amenant les nouveaux modes de jeu risibles du DLC ne règle même pas les problèmes de plantages du jeu.
Une honte made in Ubisoft.
Cocoricul…
Metal Slug encore même si il est pas aussi bon que les trois premiers, il reste un jeu sympa pour se défouler 10 minutes sur les boutons de ta psp dans le métro.
Mais KoF après le 2003 j’ose plus trop y toucher. (la récemment j’ai essayé Maximum Impact… Ça aurait pu vraiment être un tekken killer si c’était pas un game play 2d placer dans des arènes en 3d et ou tu peut bouger dans l’espace, ya un truc mal penser dessus, un petit truc un peut chiant, et puis la tenue alternative de certains perso… LOL quoi XD, elles frolent le ridicules :/ faudrait que je test le suivant un jour)
Le dernier me donne pas vraiment envi au final :/ (surtout ce qu’on en dit et mon expérience sur le 2003 :x )
A mon avis pour le DLC il y a eu un patch. Pour changer deux trois chiffres dans le code pour inclure les 3 grosses blagues a deux euro que contient le DLC.
Sur ps3 quand j’ai acheté le jeu après l’installation j’ai eu une MAJ de 5 secondes. Version 1.02 je crois.
Mais encore j’ai eu de la chance j’ai pu finir le jeu sans que ça plante la première fois !
Mais je regrette mes 12€ que m’on couté ce jeu, bien mais quand même…
Je suis deçu des bugs stupide. Presque aussi stupide que dans ultra man sur SNES (ceux qui y on jouer comprendrons :p)
Mise a part ça les graphismes son franchement intéressant, et la musique donne un air nostalgique sans être aussi relou que les compos NES un peut trop limité. (même si dans scott pilgrim ya que des boucles d’a peut pret 1 minutes pour chaque musique)
Le jeu a aussi de l’intérêt a deux ou plus.
Seul je me suis un peux fais chier.
Avec mon petit frère on s’es marré comme des cons en voyant les interactions entre persos ou en s’envoyant des poubelle a la tronche pour être le premier a prendre la thunes.
Âpres ya les bugs, même avec de la patience dans ce jeu ils son vite chiants. EN plus le menu pause met 3 ans a se charger.
Enfin bref x) On s’écarte un peut la x)
Sinon pour le steam le système marketing qu’il a mis en place est en fait très ingénieux pour plusieurs raisons.
La première quelqu’un qui loupe une promo d’un jeu qu’il voulait.
Il y a deux cas de figure, le mec dégouté A MORT et qui finira par prendre le jeu au prix d’origine désespéré en pensant que ça se reproduira jamais et qu’il doit se resigné a le prendre maintenant (en somme un mec qui se laisse avoir facilement ou un noob, au choix)
Mais il est naif encore. (on y reviens en troisième point)
Le second point c’est le mec qui se dit “je vais attendre pour voir si ça rebaisse” Et la en attendant il scrute la page steam tous les jours pour voir si son jeu va rebaisser.
C’est la que c’est magique.
Le mec en même temps il va voir les autres promo. Du coup, il va se laisser berner comme un gland par d’autres jeux au rabais. Parce que steam a poussé le gars a voir la page tous les jours et a le tenter encore plus.
Le troisieme point, c’est le point negatif pour steam (et pour les nerfs du joueur)
En gros, le joueur qui se fait avoir et qui a pris le jeu au prix normal apres la promo, qui une semaine plus tard decouvre en allumant son PC (et steam par la même occaz) pour jouer au jeu et qui vois au lancement du programe “super promo, le jeu que tu a payer 50€ parce que tu a loupé la promo ou il etait a 40, viens de descendre a 5€”
La c’est simple, soit le joueur casse tout et va vivre dans un bus en alaska. Ou il insulte par mail/blog/msn/facebook/rajoutezlamentionquivousplait steam pour l’avoir enfourné avec du sable du gros sel et des braises ardente et il refout plus jamais un pied sur steam (ou a defaut il y va pour jouer a son jeu mais fera plus rien d’autre)
Soit il se laisse pas avoir une nouvelle fois et attend encore pour acheter un jeu qu’il y ai une promo moin couteuse pour sa carte banquaire.
Mais au final steam a la promo facile, aleatoire autant sur les prix que sur les dates.
Mais c’est du marketing de base.
Tu attire le client avec une promo pour le fideliser et/ou lui mettre sous le nez les gros hit du moment. (gros hit qui coutent 40€ a la sortie sur plateforme virtuelle alors que la version boite coute 5€ de plus et que elle, tu peux la revendre si tu constate que c’est une daube)
(non je me suis pas fais enfler de 50€ sur le steam, max 10€, je payerais jamais ce prix un jeu que je suis pas sur d’aimer et que je garderais en travers de l’anus)
Sinon il y a une autre alternative a leurs marketing.
Les cadeaux. Genre toi tu l’a payer cher mais comme tu a kiffer le jeu, pour la promo tu l’offre parce que tu peut en faire profiter un pote pauvre (ou un pote flemard, enfin un pote quoi) ce qui au final redonne ton fric a steam directement. (pour ceux qui savent pas tu peut offrir un jeu via steam, pour plus de renseignements debrouillez vous :p )
Je parle un peut trop ces temps si, je devrait mettre mon blog a jour… Un jour… :p