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Jeune américaine de 21 ans, Jennifer aime le hard rock et les vieilles demeures de scientifiques fous. Enlevée comme il se doit dans la version haute résolution de Splatterhouse, elle laisse derrière elle des morceaux de photos intimes comme autant d’indices pour motiver son sauvetage.

La Princesse Champignon et ses serviteurs nains à moitié nus qui vous envoient dans le château d’à coté peuvent aller se rhabiller.

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Jennifer, aime prendre des photos de vieilles demeures. Entre autres… Car elle semble aussi un petit peu coquine sur les bords pour se trimballer avec une quinzaine de photos de sa poitrine dans le sac à main. Traînée à travers pièces et dimensions par un vieux malade, elle aura la bonne idée de déchirer savamment les clichés qu’elle semera à sa suite, tel le petit Poucet.
Elle sait motiver son homme, ça ne fait pas de doute.

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Rick est super motivé pour défoncer le boss suivant et récupérer le morceau manquant de la photo…

Souvent injustement noté, Splatterhouse se sert de ces petits puzzles grivois au milieu de la violence et des litres de sang pour unir le gore et le sexe comme dans les meilleurs films d’horreur pour adolescents. Et comme pour les couvertures de Playboy collectables dans Mafia 2, le jeu présente ainsi un aspect plus adulte que la quête d’étoiles ou de pigeons.

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Jennifer a d’ailleurs eu les honneurs d’une interview et d’une double page dans le célèbre magazine cuculturel :

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Toutes les photos sont visibles ici. Pour référence. Parce que je préfère garder la surprise au fil du jeu et en recoller les pièces au fur et à mesure.