L'égérie de nos journalistes gras et gamerz du dernier E3 (obscure réunion tupperware autour d'une planche de step) s'appelle Jade Raymond. Si c'est pas un prénom d'héroïne de jeu d'aventure au-delà du Bien et du Mal ça déjà... En plus elle est jolie comme un coeur et s'occupe de l'attendu Assassin's Creed; le jeu de Prince of Persia en cagoule dans la foule.

Il n'en faut pas plus pour faire mousser tous les tripoteurs de joystick de la planète Jeu Vidéo.



T'es pas ma mère, euké ?!
S'il y a bien un point commun entre sexe et jeu vidéo, c'est la culpabilité. Ces jeux interdits faits de plaisirs coupables. Ce gameur de Sigmund en viendrait même à nous parler du rôle de la mère castratrice, interrompant une partie avant le point de sauvegarde.
Dilemme récurent dans la vie du joueur. Parce qu'après la génitrice, c'est une concubine qu'il faut gérer et manipuler pour continuer à niquer ET à jouer.



P3t1t3 F1f1ll3
Le fantasme du joueur passionné est ainsi facile à se figurer : une bombe sexuelle qui aime les jeux vidéo. Nos lectrices harcelées en savent quelque chose. Alors, quand c'est une ancienne programmeuse devenue productrice qui vous faits des sourires-banane à longueur d'Eutroa, imaginez l'explosion de vieux slips ...
Je sais c'est dégueulasse.



Mais il faut dire qu'on vient de loin. La dernière représentante influente (pffrr) venait de chez Nintendo. Perrin Kaplan, une vieille peau maladroite, machine à bullshit en carré Hermès des relations presse du père Mario.

J4D3 RUL3ZZZ !!