C'est pixellisé é-xeu-pré, c'est de l'art voyez...

Ce qu'il y a de bien avec les japonaises, c'est qu'on peut les mettre dans une valise et les ramener à la maison.
Le premier juin à Akiba (le petit nom d'Akihabara), c'est la rotation des stocks de jeux vidéo et de figurines. Il faut faire de la place pour les nouveaux produits de l'été, alors c'est braderie à tous les étages.
Ce jour là, ma nouvelle petite copine en kimono fut donc mienne pour une bouchée de pain. Du pain de compét' de Chez Paul, mais une affaire quand même...



Chitose est née dans la série animée Amaenaideyo!!. Le manga, moins joli, est publié en France sous le nom "T'abuses Ikko". Ikko étant le jeune garçon, héros de ce Harem Manga (penser Love Hina, Ichigo 100%), dont les pouvoirs ne se révèlent qu'au contact de généreux nichons. On y retrouve les habituels trébuchages, les mains en avant, dans un anti-gravitationnel et secourable tissu adipeux.
Ici celui de notre Chitose donc, vu la platitude des deux autres potiches...





Elle dispose en tout de trois possibilités pour vêtir sa précieuse ( ° )poitrine( ° ). De la plus habillée : kimono fermé jusqu'au col, à la plus coquine : laissant jaillir éhontément toutes ces formes hors du vêtement baillant; telle La Liberté Guidant Le Peuple.
Chaque séance d'habillage se faisant avec des pièces souples, mais bien embriquées, il en résulte souvent des marques de peinture dues aux frottements. Ainsi, il vaut mieux choisir une tenue et s'y tenir.
Pour ma part, je préfère la juste mesure du choix intermédiaire. Dévoillant, d'une manière faussement involontaire, une vue construite de courbes bient étonnantes.
Car -le saviez-vous ?- "sein" vient du latin sinus, « courbure, sinuosité, pli », qui désignait notamment un pli de la toge recouvrant la poitrine.
Toge, ou kimono en japouné, ce qui place cet exemplaire à l'origine même du monde. Rien que ça.



Le jeu de cache-cache prend toute sa vicieuse ampleur avec la partie inférieure du corps de la douce prêtresse. Qui, comme pour la partie amovible consacrée aux nichons, est faite d'un plastique souple cachant un trésor de petite culotte.
Oui, mais... Rien n'est prévu pour ôter ce douloureux rideau. Il faudrait procéder à une opération entamant l'intégrité du modèle, découpant ses vêtements avant de la couper en deux. Mais un tel acte impie demande un gros travail psychologique, car il atteste de l'Otaquisme bien avancé du chirurgien.

Gnn...
Lâcher...
ce...
cutter...