Comme au Japon il y a quelques années, on veut nous interdire la revente de jeux. Habile stratagème pour grapiller quelques ventes de plus au détriment des revendeurs et des joueurs. Pourtant les autocollants "No Resale" n'ont pas fait long feu au pays de Katamari. Ca se comprend. Il y a beaucoup de jeux qui ne valent pas un prix de 60 euros, mais à 30 euros c'est l'occasion d'une découverte. C'est comme ça que s'échange la culture sur console, et permet de trouver de vieux jeux qu'on aurait manqué.
(Plutôt que de payer du vent sur la Virtual Console ou le XboXlive...)
Comme pour les DRM des maisons de disques, sous couvert de bonne rétribution des auteurs -"ça freine l'innovation tout ça"pfrrr-, c'est surtout l'occaze de trouver facilement les 15% de croissance annuelle réclamés par les actionnaires.