Mon harem s’agrandit encore un peu plus.

Melissa Seraphy vient d’un jeu de drague fantastique complètement japouné et inaccessible qui s’appelorio : Wagamama Capricco. Elle y tient le rôle de la princesse en devenir des enfers.



L’astuce de sa robe en citrouille est de pouvoir y distinguer sa précieuse culotte. D’où ma tentative d’éclairage par le dessous pour la photo.
De manière plus brutale, on peut lui retirer cet artifice pour profiter du petit bout de tissu rose couvrant sa pudeur. Elle n’est alors plus tenue à son socle. Mettant ainsi en exergue sa fragilité, qui ne peut alors plus quitter nos mains de peur de l’accident…