Docteure Karen Ritchie directrice de recherches à l'Inserm est en passe de devenir notre Jack Thompson à nous. Elle publie dans Libé un article dénué de toute étude ou forme d'argumentation pour nous dire que "Oui, certains jeux vidéo sont nocifs". Bien sûr elle n'en citera aucun, mais on voit très bien ce qu'elle veut dire... :

Les effets primaires, démontrés auprès de très grands groupes de jeunes, se traduisent par une augmentation des comportements agressifs et violents, une augmentation des prises de risques, un début d'activité sexuelle anticipé et surtout une diminution de la capacité d'éprouver de l'empathie et une désensibilisation à la violence.
Dans l'attente de preuves contraires, les parents devraient considérer ce type de jeux comme potentiellement nocifs, au même titre que des substances neurotoxiques.

Parce qu'on les connait ces jeux là, pas de chez nous.
Ils viennent manger le pain des français et vendre de la drogue à nos enfants.