Mais tout d’abord, Kotaku a réussi où j’ai échoué à propos des différents types de contrôle du jeu. Pour eux c’est bien simple : en-dehors du nunchuknorris, on se fait avoir. Pour la bonne et simple raison qu’il est la seule manette des quatre (volant, classique, ou GC) à permettre de réaliser les figures aériennes sans lâcher un court instant les commandes de direction. Instant fatal qui amène facilement au doux contact d’un mur ou au frisson de la chute libre…
Problème que l’on pourrait régler si ces fachos de Nintendo autorisaient la modification des touches. Mais ça je l’ai déjà dit avant en preum’s. Et puis je suppose que c’est pour préserver un équilibre entre joueurs et casuel-mec (“ouah mais je suis pas un sale gameur moi, j’ai une vie, j’ai une Wii”).

Souvenons-nous aussi de Mario Kart Double Dash, dont les armes spéciales variaient selon le personnage. Le Chomp par exemple était réservé aux babies Luigi et Mario. Originalité disparue depuis la version DS.


Piti nuache
Le nuage est une première en ce sens qu’il est plus reçu par le joueur comme une mauvaise surprise que comme un moyen de rattraper son retard. Il se déclenche immédiatement à la fin de la roulette des arme, et après une quinzaine de seconde un éclair rapetissant s’abat sur le porteur du marionimbus; l’entrainant autant dans le bas du classement que dans les affres de la solitude (l’éclair classique étant effectif sur tous les concurrents).
Mais le bon coté de la médaille c’est l’accélération octroyée pendant les secondes de malédiction précédant l’éclair. Les effets du hors-piste étant également annulés, c’est une occasion de remonter ses adversaires. Car la maladie se transférant au contact, c’est un rare plaisir que de refiler le bébé premier du classement, et d’attendre que l’intempérie locale fasse son œuvre pour le dépasser crânement.

Casse-toi, POW con…
Le POW quant à lui provoque une secousse terrestre faisant tournicoter les joueurs, les délestant aussi de leur armes. Il est dit qu’en plein saut on ne subit pas ses effets, mais c’est bien rare d’arriver à faire coïncider ces deux instants. Il faut bien noter cependant que, tel le calmar encrepéteur, son effet ne s’applique qu’aux conducteurs en avant de celui qui le déclenche.

Ces deux nouvelles armes souvent contestées viennent pourtant équilibrer les parties en douzaine, et évitent d’en rester à des échanges longue distance de carapaces bleues et autres pénibles successions d’éclairs.
Et oui, je n’ai tapé cet article que pour placer ma blague de titre.