Les filles dans les jeux vidéo, quand on pouvait encore jouer en paix entre gens de bon goût, étaient jusqu'ici - à l'image de Chun-li - des femmes de caractère portant costumes. Passé sous le régime de l'idiocratie et de la course au joueur occasionnel (celui à qui il reste peu de temps entre la golf GTI et Secret Story), le sex-appeal de nos égéries passe doucement du coté pot de fleur à grosse poitrine.
Paris Hilton et autres putes roumaines commencent à raccoler sur les trottoirs des Micromania...


Casey Lynch de Guitar Hero. Fini les dread locks et l'attitude roots, je suis une pétasse péroxydée maintenant.


Sophitia de SoulCalibur. On passe de la jeune déesse guerrière à la greluche à grosses loches et son air de chienne batue. Namco continue la DOAtisation de son jeu de baston d'épées.

Wiictime de la mode
Une fois n'est pas coutume l'espoir vient de la console à télécommande de Nintendo. Plutôt de Grasshopper avec le très attendu petit frère de Killer 7, No More Heroes, et ses donzelles qui se laissent pas faire.




La doctoresse à la perceuse m'intéresse vivement.




Même la Princesse Peach devient une sacrée biatche en filant un bon coup de cul à un Mario en jean (pour faire jeune). Elle utilise même cette fiote de Toad pour se protèger des coups. Les filles se laissent pas faire !