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“Foule”. Olivier Suire-Verley

Je commence avec émerveillement Mass Effect premier du nom alors que la suite vient de sortir. Le buzz actuel autour du meilleur jeu de l’année de Janvier relance l’attrait pour ce qui est devenu une licence. Et les indécis, hésitant jusque là à miser leur heures de jeu dans le RPG de l’espace, sautent le pas à moindre frais.

“Souviens-toi l’été dernier d’il y a deux ans”

Certains titres appartenant au passé profitent de l’actualité de leurs suites pour revenir dans les esprits des joueurs. On peut ainsi voir revenir au fil d’une liste d’amis Xbox Live des Assassin’s Creed, Army of Two, Lost Planet, ou Dead Rising dans les lecteurs au gré des bandes annonces et des sorties de leurs suites. Et tous de jouer soit pour se remémorer l’épisode précédent, soit pour s’immerger dans un univers; tout en sachant sa déclinaison disponible sans attente si l’aventure est si palpitante qu’il se dit.

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Dans les stats de jeu d’un site comme Raptr.com on distingue clairement, outre les pics de gameurs à chaque week-end, un retour d’intérêt croissant pour Mass Effect dans les jours précédent la sortie du second épisode, pour ensuite chuter de moitié.
Comptons dans le tas ceux qui ont surement retapé leur sauvegarde du premier, histoire d’avoir des débuts flamboyants dans la suite des aventures de mamoizelle Shepard (chez moi c’est une meuf, quitte à mater un cul courir les quêtes pendant de longues heures…).

Mass Effect est trouvable à vingt euros en édition budget, Mass effect 2 est sorti la semaine dernière à soixante euros. Un spin off iPhone réputé très moyen est vendu à un euro cinquante-neuf sur l’appstore.