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Jeux vidéo, racolage, et prostitution.

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Après s’être rit des poitrines anti-grav de Dead or Alive et des amourettes virtuelles de Love Plus produits au Japon, le marché occidental des jeux vidéo utilise de plus en plus les personnages féminins pour dynamiser ses ventes.
Dans Mass Effect 2, la douce et bleue Liara était étonnement chaste. La jeune asari avait pourtant déniaisé plus d’un joueur dans le premier épisode. Mais pour poursuivre cette romance, il fallut acheter le contenu téléchargeable du Courtier de l’Ombre. Et parmi les missions en DLC du jeu, celle-ci reste la moins souvent en promotion…

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C’est au tour du Batmec d’encourager les joueurs à la dépense avec du racolage en polygones autour de Catwoman. Vêtue de cuir et de lèvres pulpeuses, la féline criminelle ne sera disponible en tant que personnage jouable qu’à l’aide d’un code fourni dans l’emballage scellé du jeu neuf. Ou en payant dix euros pour avoir accès à ce contenu présent sur le disque. La reine de la cambriole se réserve donc pour les honnêtes consommateurs qui se détourneront du marché de l’occasion.

Ironie ou association de malfaiteurs ?

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Batman: Arkham City sort la semaine prochaine sur Xbox360 et PS3. Il fait suite à l’excellent Batman: Arkham Asylum, qui proposait un système de combat de foule très réussi et une histoire entraînante. La qualité attendue de cette suite est telle que le nombre de personnages (Robin, Nightwing) et costumes aléatoires payants est déjà impressionnant.