Metal Slug est un peu partout, disponible maintenant sur quasi toutes les plateformes. Le 3 est arrivé le mois dernier sur Xbox Live Arcade, avec des succès de fou genre faire un stage sans mourir.
Mais voilà, je suis arrivé à pile 3000 points de gamertag, et ma marotte du moment c'est de rester à ce chiffre. Une forme de grêve pour dénoncer la course folle aux succès. Quand on en vient à ne plus allumer les autres consoles parce qu'elle ne sont pas rentables - on y gagne rien, t'imagines- ça devient grave. J'ai donc choisi la version PSP, pour jouer pendant les recherches de joueurs sur GoW.
Le jeu est plutôt bien pensé pour du Playmore (Metal Slug GBA était une catastrophe). Une fois passé les pénibles écrans de copyright (30 secondes d'appui répété sur START), on à le choix entre 7 itérations (1, 2, X, 3, 4, 5, 6) et une Galerie de musiques, d'images, et autres bonusques. On peut choisir de se mettre les crédits infinis comme sur tout bon émulateur, mais on peut aussi demander à ce qu'ils soient limités; pour donner un peu d'enjeu au jeu. Et là bien vu : le nombre de crédits donnés varie en fonction de l'épisode. 27 pour le premier et 19 pour le second par exemple. Mettant le joueur à limite de la victoire, lui demandant un peu d'excellence pour boucler le jeu.
Et ces victoires sont récompensées par des jetons, servant à se payer les bonus sus-nommés. Hormis le plaisir des oeils, ces éléments servent aussi à décorer ses menus PSP.



Alors que les gameur points, ça sert surtout à faire passer les heures à exécuter des défis plus vidéo que ludiques. Si seulement on pouvait se payer des images de joueur ou des wolepépeurs... Non, moi j'ai dû payer mon portrait. C'est vraiment dégueubLEUAARGH.