Parmi la gallerie des portraits disponibles pour les différentes classes dans le jeu DS Etrian Odyssey, la Chasseuse Sombre connait un certain succés. Les cheveux rose, l’air dominateur SM, et des fantasmes de bondage y sont pour quelquechose. Car oui, les gameurs sont des pervers raffinés.

Now Playing…
Etrian est difficile. Les premières (dizaines) d’heures commencent par un simulation de clochard de RPG. Il vous faut survivre aux premiers étages du labyrinthe. C’est à dire qu’il faut l’explorer en traçant sa topologie au stylet, mais surtout pouvoir en sortir vivant pour sauvegarder. Le trajet du retour avec trois morts sur les bras est souvent difficile. Et le prix de leur résurrection oblige souvent à utiliser les survivants pour gagner le pécule nécessaire. On se retrouve alors à revendre des ailes de moustique, les seuls monstres à la portée d’une équipe réduite.

Mais ce sont ces premières galères qui permettent d’apprécier la montée en puissance de sa formation. Une fois quelques meneurs musclés placés en première ligne, il sera même facile d’acceuillir de nouveaux persos venu issu des nombreuses différentes classes du jeu. Des vrais persos vierges que l’on nomme et dont on choisi la tronche. Et la composition du groupe influe enfin réellement sur l’efficacité au combat.



Et donc, dans cette galerie de tronches de mangasses, la Female Dark Hunter remporte une partie des suffrages en tant que double maléfique de la Medic Girl.



Etrian Odyssey est sévère mais juste. Il récompensera le joueur courageux par une montée en puissance régulière, des Level Up dont on sent vraiment les effets, et une histoire assez vierge pour laisser vagabonder notre imagination. Parce que les quêtes métaphysiques de héros en short avec un kilo de gel sur la tronche, ça fatigue vite…